Les bases | Modules regroupés
Pour communiquer sans conflit, Dans le dialogue et le respect des différences.
Champ d'application
Tout public
Format
Stage ponctuel
Modalités de participation
Présentiel résidentiel
Langue
Français
Région et Département
Occitanie | Lot
Durée et dates
(3 jour(s))
Financement
Autofinancement personnel, Conventions professionnelles, Qualiopi
Tarif particulier
345€
Autres Tarifs
Consultez le formateur.
Descriptif de la formation
- Mais je ne suis pas violent, moi !
Le premier des apports de cette formation est justement de nous rendre compte, très concrètement que dans notre communication quotidienne, il nous arrive d’être maladroits, et, comme un chien dans un jeu de quilles, de rompre la relation en toute innocence. Tenez, par ex, cette parole dite à un enfant : « Oh, mais tu sais, si tu ne fais pas un petit effort, tu ne réussiras jamais à rien dans la vie ». L’enfant peut recevoir ces mots avec une double souffrance : la première, parce que l’effort a déjà peut-être été réalisé par l’enfant et, la deuxième, la prémonition, peut lui créer de l’anxiété, dont on sait qu’elle est le pire des ingrédients pour la réussite de quoi que ce soit.
Il nous arrive, plus souvent qu’on ne le croit, d’être carrément violent, par exemple, en criant sur un proche ou une personne plus faible que soi, en espérant lui faire entendre « raison », celle à soi bien sûr. Ou en niant ou qualifiant négativement le propos d’un partenaire (« c’est nul ou ridicule ce que tu dis »).
Nous le sommes aussi violents, contre nous-même. Nous pouvons souffrir de la parole d’un de nos proches (ou d’un lointain) sans lui en dire quoique ce soit, en laissant cette parole mariner, au fond de soi, des années durant. Je me souviens d’un de mes amis qui découvrit un jour sa femme ayant quitté le domicile conjugal en son absence, en ayant vidé toutes les armoires, après 20 ans de vie commune et sans aucun avertissement préalable. Et Lui de s’étonner comme un enfant en larmes de cette attitude. De quelle communication usaient-ils ces deux-là ?
Des exemples de la sorte, anodins, récurrents, avec nos enfants, nos parents, nos voisins, nos relations de travail, nos amis…nous les découvrirons par dizaines dans nos comportements quotidiens. Il ne s’agira pas de s’en culpabiliser mais juste d’en prendre conscience et plus encore de découvrir puis s’entraîner à un mode de communication solide reposant sur l’expression affirmée de soi et l’écoute de l’autre dans le respect mutuel, et dans la reconnaissance joyeuse et constructive de nos différences.
- Mais je ne suis pas violent, moi !
Le premier des apports de cette formation est justement de nous rendre compte, très concrètement que dans notre communication quotidienne, il nous arrive d’être maladroits, et, comme un chien dans un jeu de quilles, de rompre la relation en toute innocence. Tenez, par ex, cette parole dite à un enfant : « Oh, mais tu sais, si tu ne fais pas un petit effort, tu ne réussiras jamais à rien dans la vie ». L’enfant peut recevoir ces mots avec une double souffrance : la première, parce que l’effort a déjà peut-être été réalisé par l’enfant et, la deuxième, la prémonition, peut lui créer de l’anxiété, dont on sait qu’elle est le pire des ingrédients pour la réussite de quoi que ce soit.
Il nous arrive, plus souvent qu’on ne le croit, d’être carrément violent, par exemple, en criant sur un proche ou une personne plus faible que soi, en espérant lui faire entendre « raison », celle à soi bien sûr. Ou en niant ou qualifiant négativement le propos d’un partenaire (« c’est nul ou ridicule ce que tu dis »).
Nous le sommes aussi violents, contre nous-même. Nous pouvons souffrir de la parole d’un de nos proches (ou d’un lointain) sans lui en dire quoique ce soit, en laissant cette parole mariner, au fond de soi, des années durant. Je me souviens d’un de mes amis qui découvrit un jour sa femme ayant quitté le domicile conjugal en son absence, en ayant vidé toutes les armoires, après 20 ans de vie commune et sans aucun avertissement préalable. Et Lui de s’étonner comme un enfant en larmes de cette attitude. De quelle communication usaient-ils ces deux-là ?
Des exemples de la sorte, anodins, récurrents, avec nos enfants, nos parents, nos voisins, nos relations de travail, nos amis…nous les découvrirons par dizaines dans nos comportements quotidiens. Il ne s’agira pas de s’en culpabiliser mais juste d’en prendre conscience et plus encore de découvrir puis s’entraîner à un mode de communication solide reposant sur l’expression affirmée de soi et l’écoute de l’autre dans le respect mutuel, et dans la reconnaissance joyeuse et constructive de nos différences.