Avec le MODULE 2, nous développons notre capacité à clarifier ce qui se passe pour nous (c’est-à-dire à être en ‘auto-empathie’), et nous découvrons l’univers de l’écoute de l’autre et la spécificité de l’empathie telle que nous la propose Marshall Rosenberg avec le processus CNV. A travers de multiples exercices d’écoute et diverses mises en situation, nous pourrons nous familiariser avec cette pratique de l’empathie sur la base de laquelle nous verrons comment aborder le dialogue avec l’autre. Contenu de référence :

• L’auto-empathie
• L’écoute empathique de ce qui se passe pour l’autre
• Établir un lien avec l’autre en formulant une demande
• Différencier l’empathie des autres attitudes d’écoute (sympathie, conseils…)

Pourquoi ? Pour développer une posture de coopération non violente dans son quotidien, dans ses engagements citoyens, dans sa vie professionnelle. Pour entretenir des relations empathiques et honnêtes avec soi-même et les autres. Ces bases permettent de (re)découvrir les bases et l’intention du processus de la Communication non violente avec des personnes issues d’horizons variés. Nous porterons notre attention sur vivre des relations de paix, coopérer malgré les différences pour vivre la diversité et l’équité, avoir conscience de nos traumas individuels et collectifs qui créent des formes de violence. Ces bases de la Communication Nonviolente permettent de cheminer vers des manières de vivre ensemble autrement. 

Pour qui ? Pour tout le monde. La diversité ne doit pas être un frein mais au contraire une richesse : quel que soit votre histoire, vos ressources économiques, votre genre, votre instruction, vos appartenances ethniques et/ou religieuses, votre culture, votre situation d’handicap visible ou invisible, votre rapport à la nature, votre âge, etc. vous êtes bienvenu.e.i., et vous pouvez nous contacter pour échanger sur les conditions qui soutiendraient votre participation. L’atelier est en contribution financière consciente CFC. Pour en savoir plus : cliquez ici

Qu’est-ce qu’on apprend ?

Ce sont les modules de bases classiques de CNV avec une orientation sur le vivre ensemble:

Chacun.e.i à son rythme et en fonction de ses expériences, nous cheminons vers :

Réactualiser le cadre de confiance des accords de groupes, en prenant en compte la diversité, l’équité et les sensibilités.

Prendre en compte les différences (de culture, de ressources) dans la manière et la possibilité de satisfaire les besoins.

Continuer à reconnaitre lorsque des traumas individuels ou collectifs sont activés dans une situation et retrouver de l’équilibre intérieur.

Repérer quand ses intentions sont coopératives ou non et lorsque que ses paroles et ses actes sont alignées avec ses intentions. Distinguer intention et objectif.

Pratiquer et ancrer une écoute empathique de soi et des autres pour mieux se comprendre et se respecter.

Développer l’habitude de voir et exprimer des remerciements pour soutenir le vivre ensemble, différencier les compliments des appréciations. Prendre conscience de l’impact des compliments sur notre estime de soi.

Apprendre à faire des demandes claires pour soutenir la coopération. Distinguer demande et exigence. Commencer à prendre conscience des différences de pouvoir quand on fait ou reçoit une demande.

Distinguer nos ressentis des jugements masqués, et commencer à voir l’influence de nos culture et de nos traumas à cet endroit.

Reprendre notre responsabilité ensemble en s’expérimentant à des dialogues authentiques.

Modules 3 (30 janvier et 1er février 2025) descriptifs à venir.

S’inscrire : ICI

Ou sur le site ici 

Pourquoi ? Pour développer une posture de coopération non violente dans son quotidien, dans ses engagements citoyens, dans sa vie professionnelle. Pour entretenir des relations empathiques et honnêtes avec soi-même et les autres. Ces bases permettent de (re)découvrir les bases et l’intention du processus de la Communication non violente avec des personnes issues d’horizons variés. Nous porterons notre attention sur vivre des relations de paix, coopérer malgré les différences pour vivre la diversité et l’équité, avoir conscience de nos traumas individuels et collectifs qui créent des formes de violence. Ces bases de la Communication Nonviolente permettent de cheminer vers des manières de vivre ensemble autrement. 

Pour qui ? Pour tout le monde. La diversité ne doit pas être un frein mais au contraire une richesse : quel que soit votre histoire, vos ressources économiques, votre genre, votre instruction, vos appartenances ethniques et/ou religieuses, votre culture, votre situation d’handicap visible ou invisible, votre rapport à la nature, votre âge, etc. vous êtes bienvenu.e.i., et vous pouvez nous contacter pour échanger sur les conditions qui soutiendraient votre participation. L’atelier est en contribution financière consciente CFC. Pour en savoir plus : cliquez ici

Qu’est-ce qu’on apprend ?

Ce sont les modules de bases classiques de CNV avec une orientation sur le vivre ensemble:

Chacun.e.i à son rythme et en fonction de ses expériences, nous cheminons vers :

Réactualiser le cadre de confiance des accords de groupes, en prenant en compte la diversité, l’équité et les sensibilités.

Prendre en compte les différences (de culture, de ressources) dans la manière et la possibilité de satisfaire les besoins.

Continuer à reconnaitre lorsque des traumas individuels ou collectifs sont activés dans une situation et retrouver de l’équilibre intérieur.

Repérer quand ses intentions sont coopératives ou non et lorsque que ses paroles et ses actes sont alignées avec ses intentions. Distinguer intention et objectif.

Pratiquer et ancrer une écoute empathique de soi et des autres pour mieux se comprendre et se respecter.

Développer l’habitude de voir et exprimer des remerciements pour soutenir le vivre ensemble, différencier les compliments des appréciations. Prendre conscience de l’impact des compliments sur notre estime de soi.

Apprendre à faire des demandes claires pour soutenir la coopération. Distinguer demande et exigence. Commencer à prendre conscience des différences de pouvoir quand on fait ou reçoit une demande.

Distinguer nos ressentis des jugements masqués, et commencer à voir l’influence de nos culture et de nos traumas à cet endroit.

Reprendre notre responsabilité ensemble en s’expériment