Régions d'intervention
Auvergne-Rhône-Alpes
Prestations possibles
Formation tout public, Formation inter-entreprises, Formation intra-entreprise
Domaines d'activité
Entreprises et Organisations, Milieu associatif
Langues
Français
Depuis l’enfance, je suis en quête d’un monde plus juste, où l’on vive plus d’équité et où chacun puisse être entendu. Ceci est lié à l’histoire de ma famille, mais aussi à l’intuition d’une vocation particulière à donner à ma vie.
J’ai accompagné, en tant qu’éducatrice spécialisée, des personnes avec un handicap mental et psychique ainsi que des troubles physiques associés. Leur fragilité de base, jointe parfois à une incapacité à s’exprimer et à se faire comprendre, m’a tout naturellement conduite à explorer la communication, ses obstacles et les moyens de les traverser dès 1978, début d’un long chemin de développement personnel.
18 ans de vie communautaire m’ont sensibilisée au collectif au mépris de l’individuel. J’y ai cependant appris la joie et la richesse de la vie intérieure. J’ai aussi appris le poids et le prix du silence, les non-dits, la communication non verbale plus parlante que les mots, les discours volontaires, moralisateurs, séparant le monde en deux, sous couvert de spiritualité.
Je sais que dans mon cœur se trouve la gamme des sentiments que l’humain porte en son sein et que je ne suis ni meilleure ni pire qu’un autre. C’est d’abord en moi que se trouvent les germes de la violence et c’est d’abord de moi qu’il faut les extirper et sur moi qu’il me faut œuvrer.
La CNV a été mise sur ma route alors que je cherchais un moyen de dire les choses autrement qu’en implosant dans la maladie, qu’en transgressant la loi ou qu’en explos Lire la suite..
Depuis l’enfance, je suis en quête d’un monde plus juste, où l’on vive plus d’équité et où chacun puisse être entendu. Ceci est lié à l’histoire de ma famille, mais aussi à l’intuition d’une vocation particulière à donner à ma vie.
J’ai accompagné, en tant qu’éducatrice spécialisée, des personnes avec un handicap mental et psychique ainsi que des troubles physiques associés. Leur fragilité de base, jointe parfois à une incapacité à s’exprimer et à se faire comprendre, m’a tout naturellement conduite à explorer la communication, ses obstacles et les moyens de les traverser dès 1978, début d’un long chemin de développement personnel.
18 ans de vie communautaire m’ont sensibilisée au collectif au mépris de l’individuel. J’y ai cependant appris la joie et la richesse de la vie intérieure. J’ai aussi appris le poids et le prix du silence, les non-dits, la communication non verbale plus parlante que les mots, les discours volontaires, moralisateurs, séparant le monde en deux, sous couvert de spiritualité.
Je sais que dans mon cœur se trouve la gamme des sentiments que l’humain porte en son sein et que je ne suis ni meilleure ni pire qu’un autre. C’est d’abord en moi que se trouvent les germes de la violence et c’est d’abord de moi qu’il faut les extirper et sur moi qu’il me faut œuvrer.
La CNV a été mise sur ma route alors que je cherchais un moyen de dire les choses autrement qu’en implosant dans la maladie, qu’en transgressant la loi ou qu’en explosant pour dire à l’autre ce qui ne tournait pas rond chez elle/lui. J’ai compris que j’avais trouvé dans la CNV un bateau pour me conduire sur l’autre rive et je l’ai emprunté.
Ma formation en sociocratie (gouvernance de soi, des équipes et des institutions), dite encore « gouvernance par consentement », et mon expérience dans diverses institutions et réseaux m’ont permis d’explorer les rapports entre collègues et avec la hiérarchie, cherchant comment allier efficacité et respect des personnes ; comment favoriser les échanges, la clarté dans les informations et un pouvoir partagé qui permettent que les forces de chacun soient à la fois mises au service de l’entreprise ainsi qu’à celui de l’épanouissement personnel dans le travail.
C’est pour moi un plaisir particulier de rencontrer les personnes qui travaillent en institution lors de séminaires. J’aime les voir s’ouvrir à une autre manière de se relier à elles-mêmes et à leurs collègues. J’aime voir leurs yeux briller de l’espoir de vivre des relations de qualité qui leur permettent de respirer au travail et de voir dans leurs collègues des gens prêts à collaborer et non des ennemis à abattre.
J’anime aussi des séminaires d’introduction I et II à Genève, ainsi qu’un séminaire sur l’estime de soi qui, à ma grande satisfaction, a déjà embelli, voire changé la vie de plusieurs. A côté de cela, j’accompagne les personnes en séances individuelles et lors de médiations.
Grande est ma joie lorsqu’elles découvrent leur propre beauté qui les propulse dans une transformation contagieuse – qui est aussi la mienne.